Fluide ou
nerveux, le geste est là pour souligner les corps qui palpitent. Ils luttent,
s’étreignent, se caressent.
C’est le
mouvement du trait qui crée la dynamique, le désir, la tension.
Avec l’accumulation
de corps, sur le même dessin, la tension est portée haut. Les corps nous
entraînent dans une sarabande. Ils forment le tout d’une foule qui ne demande
qu’à nous inviter à nous y perdre.
Les
quelques taches de peinture sous-jacentes ne sont là que pour accentuer le
rythme.
Marie
Taklanti nous invite à entrer dans la ronde des corps et des étreintes. On ne
demande que cela.
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