A nos origines mythiques,
quelques mots racontent une première image. Ils chuchotent :
« Un souffle qui plane
sur les eaux entre ciel et terre annonce le jour et la nuit ».
Alors, rendez-vous là-bas
ou plutôt là-haut dans le souffle où personnages et objets prennent la poudre
d'escampette de nos visions habituelles. Il est possible que la force de ce
souffle primordial traverse encore aujourd'hui le photographe.
De ce fait, il emporte
notre regard et ouvre notre esprit à l'incroyable élévation annoncée plus haut.
Ces nouvelles images éveillant en nous les savoirs de la magie...Avec lui,
c'est décollage immédiat. Comme si ces rêves dans lesquels, il nous fut donné
de planer parmi les anges ou les diables, se réalisaient devant nos yeux
subjugués. Ce n'est pas rien ! Avec lui, le vol, c'est du vol en vrai, du vol à
la tire, du vol à vue de nature à chaparder notre raison ...
Connaisseur hédoniste, preneur d'images à bras le corps de nos rêves les plus fous, il oblige la réalité à s'accoquiner aux apesanteurs des nuages, aux virginales nudités de femmes (elles mêmes qu'on surprend surprises à leur toilette) et aux fantasmes cachés des artisans de toutes les catégories. Il puise et trouve mille et un détails quotidiens des désirs d'échappées. A lire sur les visages, les sourires de connivence des « mateurs amateurs », il touche juste. Il nous apprend que le rêve d'Icare nous traverse tous encore et toujours. Son talent qui pourrait n'être qu'anecdotique se densifie par le fait que rien ni personne sur ces « tableaux » n'est laissé au hasard. Chaque personnage nage en pleine complicité avec l'état de ce qui lui arrive. En un mot, on y croit parce qu'ils y croient.
Connaisseur hédoniste, preneur d'images à bras le corps de nos rêves les plus fous, il oblige la réalité à s'accoquiner aux apesanteurs des nuages, aux virginales nudités de femmes (elles mêmes qu'on surprend surprises à leur toilette) et aux fantasmes cachés des artisans de toutes les catégories. Il puise et trouve mille et un détails quotidiens des désirs d'échappées. A lire sur les visages, les sourires de connivence des « mateurs amateurs », il touche juste. Il nous apprend que le rêve d'Icare nous traverse tous encore et toujours. Son talent qui pourrait n'être qu'anecdotique se densifie par le fait que rien ni personne sur ces « tableaux » n'est laissé au hasard. Chaque personnage nage en pleine complicité avec l'état de ce qui lui arrive. En un mot, on y croit parce qu'ils y croient.
Cette sensation de l'envol,
en ces temps actuels, nous en avions un besoin urgent. Grands souffles, appels
d'air, amples mouvements, sarabande où le sourire se déploie nous font du bien.
« Et que ça saute ! » nous dit-il ...avec ces élans joyeux de la vie
prise sur le vif, il aime nous surprendre et nous emmener à portée de clins
d'œil tout autant dans le rêve que dans un second temps vers une paix
surprenante.
J'entends dire que
: « Le bonheur est à portée de main ! », alors, politiquement,
on dirait « soulèvement », amoureusement, on dirait « enlèvement »,
passionnément, on dirait « emportements ». De ces déplacements
intempestifs, l'esprit se réjouit. De ces possibles impossibles où le vent de
l'étonnement déjoue les règles de « l'air », nous sommes preneurs.
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