S’il projette au loin celle qui
scintillera…
Nous voici à peine conscients de l’avant
et de l’après décibel où le cœur de la sono vrombissante assourdit nos peurs
les plus secrètes.
Si dans le domaine de l'acoustique,
on exprime couramment le niveau sonore en décibels, valeur qui exprime le rapport des puissances entre la grandeur
mesurée et une valeur de référence fixée par une norme ; dans le domaine
de la peinture, on exprime souvent le niveau du rêve en densité physique. Cette
valeur exprime alors le rapport entre la profondeur effleurée et l’aptitude à
explorer l’inconnu.
Le décibel est un sous-multiple du bel, qui est très rarement
employé. Ni le bel, ni le décibel n'appartiennent au système international
d’unités et Criss Cusson, lui n’appartient à
aucun système, il est un sur multiple du beau, tout simplement.
Criss Cusson est ailleurs.
S’il y avait un temps où vous n’auriez
jamais vingt ans, vos larmes y couleraient à flot, unique printemps diluvien de
votre désir.
« Être » dans sa toile, c’est
naître sans abscisse ni ordonnées, dans ce repère prénatal où grondent des sons
punk - pop – rock – uper space. Il est le TEAN AGER indéterminé de nos voix lactée.
Lui sait cette juste distance qui nous
rapproche de nous même, à la frontière de la chaire et de son contraire. Ce
frère, cet envoleur qui risque sa vie pour vous déplaire à jamais, réveiller en
vous votre héros, ce rose érotique.
Mister Criss Cusson est un mousquetaire
hybride, un romantique anti conquistador. Son corail au milles vulves filtre la
flore électrique. « Cette femme est un homme… ! » Sa fleur est
secrète. Et le parfum qui s’étale danse avec ce qui de vous ne s’avoue.
J'aime... Croiser les sens La vue, la musique, le goût, que du bonheur.
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