Des figurines cornues chacune dressée sur leur socle
blanc, opposition ferme entre entités couleur brique et parallélépipède blanc
immaculé...
Je ne suis pas sûr qu'il veuille plus vendre ses sculptures que ses
socles, aussi attiré qu'il est par l'incongru. Mais ses socles, il en a besoin
pour ranger ses œuvres et ses œuvres ont besoin de leur boîte pour voyager,
trois accords parfaits...
Le dernier étant de n'en rien faire sinon d'être là
avec les passants qui passent et s'étonnent. Leur étonnement l'enchante. Avec
une tranquillité démoniaque, Alain Kieffer se tient aussi silencieux que les
dieux et déesses qui se figent dans de drôles de positions...mais leurs mains
toujours ouvertes, accueillantes, hallucinées ...
Qu'il a fallu cuire dit-il à
1030 degrés pour être disponibles à nos regards amusés. Elles ont chacune un
rêve à donner et leurs danses figées dans la brique nous ouvre bizarrement à la
vraie joie de vivre...
beau voyage avec des personnages attachants, inquiétants, à apprivoiser
RépondreSupprimerannette
D'un regard à l'essence de cette chaude couleur comme de se laisser guidé de ces œuvres en nos sens,
RépondreSupprimerun initiatique transport de l'âme <3 ;)
Merci Alain
Philippe
Un initiatique regard en cette chaude couleur, par ceux croisés de ces œuvres <3
RépondreSupprimerlaissant à l'âme et l'esprit, la trace d'un agréable voyage ;) . . .
Merci Alain
Phil