Elle a d’abord retranscrit les
mouvements de la danse en sculptures figées qui exprimaient la force du
mouvement saisi dans l’instant.
Des corps en mouvement il ne restait
plus que la peau, une peau de bandes plâtrées, de papier de soie, translucide.
Ce premier passage l’a amenée à des sculptures en terre cuite et l’instant figé a pris la force de la matière.
Ce premier passage l’a amenée à des sculptures en terre cuite et l’instant figé a pris la force de la matière.
Les
expressions de douceur, de tendresse, d’abandon, de peur ou de révolte ont pris
toute leur force dans la terre ocre rouge durcie à l’extrême comme pour tenter
de leur enlever toute fragilité.
De très beaux textes accompagnés de jolis visuels. Cette exposition restera dans la mémoire des nantais !
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