L’écrit des
dits de l’écrit
Les édits dits
de l’écrit
L’écrit des
dits écrits
Les cris du
dit écrit
Dits écrits
de l’écrit
Les écrits
des dits de l’écrit
De la typo
réforme
Du graphe
prend le cally
Tout décalé
mais certifié
La sangle
du savoir détissée
A la
réforme le surligné
Celui qui
norme l’informé
Du dit
écrit est-ce le gène
Ou
l’indigéré du fort moulé
Le
phylactère bouffe la case
Et casse
l’accusé de réception
Un roi
s’offense que ça pense
Indifférence
et pied de nez
Tire la
langue Albert au p’tit Robert
L’intitulé
prend la consigne
Et vide la
panse du verbe
Avérée la
geste se disperse
Et croque
en marge le messager
Habillé en
pied de moule
Le dit
d’écrit décrit et puis
Écale l’écorce
ferme des impensés
Cachés
planqués dessous la nasse
Le siège
depuis est en réserve
Poids noirs
posés dessus la verve
Il plie et
casse la majuscule
La casse
des doigts coud paraphrase
Aux
peaux des strophes administrées
Ça biffe au
singulier
Ça single à
toute vibure
La touche
enfourche le véloce
Et court
sans perdre la laine
Des cuirs
trempés dans la pléiade
La bulle
dévore en antiphrase
Le silence entier des formulaires
Les nerfs
des mots bien arrangés
S’exfolient
en stases exposées
Le non dit
des écrits mis à plat
La logorrhée
des logos git
En extases
extrapolées
La
géométrie du verbe
S’expatrie
hors du contexte
Excoriée la
forme à l’air
D’une
grammaire en émulsion
L’écrit de
l’écrit dit forme
Déforme et
réforme du littéraire
Les carènes
sur des aplats
Où les épaves
signent
Et
dévoilent le jusant des écrits
Estran
polymorphe des non dits de l’écrit
je suis admiratif...
RépondreSupprimertilk