Quelle ivresse quand votre bête rugis sans détours. Votre outrance m’a collée joyeusement au mur et les étoiles ont teinté. Quel bonheur de céder à votre candeur. Certains ont appelé cela l’expérience de l’être.
Devant l’expression de l’intensité, tu goûtes tel le nouveau né au festin du monde. J’ose affirmer que cette peinture agit et inverse l’ordre de la perception. Je pense en voyant, je respire en pensant. Je nais à chaque instant.
Ce que j’ai aperçu aujourd’hui, ce qui se dessine porte un nom : visage ou figure, vue ou paysage, monstre ou esprit. Demain d’autres mots, le couple ou le double, l’hybride, la femme, l’homme, les bêtes, les autres choses du monde.
Merci Sandra pour ce magnifique hommage à mon travail. Merci à la rédaction de Vivrel'Art-Magazine d'avoir publié ce reportage.
RépondreSupprimerOuf! J'avais peur de manquer de clarté...
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